C’est en 1912 que Lucien Tramier, notre arrière grand père, tombe sous le charme de ce terroir typique de la Vallée du Rhône. Il décide alors de planter ses premiers pieds de vigne sur le sol argilo-calcaire de Jonquières en Provence au cœur de ce terroir typique de la vallée du Rhône.
DEPUIS 1912
LUCIEN TRAMIER
DE 1912...
À DEMAIN
Lucien transmettra par la suite sa passion du vin et le goût du travail bien fait à son fils Raymond. En 1952, convaincu du potentiel de ce terroir, Raymond décide de vinifier ses propres vins, et construit donc la première cave du domaine. Lucien, son fils reprendra le flambeau en conservant l’équilibre et la typicité des vins du domaine. Véritable précurseur dans la région, il construit une seconde cave en 1995 équipée de cuves en acier inoxydable et d’un système de froid. Aujourd’hui, c’est en collaboration avec Lucien que Max THOMAS, son gendre, perpétue au quotidien ce même savoir-faire, afin de laisser à nos générations futures un environnement préservé, héritage d’une famille de vignerons raisonnables.
DE 1912...
À DEMAIN
Lucien transmettra par la suite sa passion du vin et le goût du travail bien fait à son fils Raymond. En 1952, convaincu du potentiel de ce terroir, Raymond décide de vinifier ses propres vins, et construit donc la première cave du domaine. Lucien, son fils reprendra le flambeau en conservant l’équilibre et la typicité des vins du domaine. Véritable précurseur dans la région, il construit une seconde cave en 1995 équipée de cuves en acier inoxydable et d’un système de froid. Aujourd’hui, c’est en collaboration avec Lucien que Max THOMAS, son gendre, perpétue au quotidien ce même savoir-faire, afin de laisser à nos générations futures un environnement préservé, héritage d’une famille de vignerons raisonnables.
ESPRIT DE FAMILLE
Au cours des générations, le domaine a su s’adapter et régulièrement évoluer, toujours avec cette envie de sans cesse s’améliorer et produire des vins de partage, typiques et authentiques. Les années passent, les techniques évoluent, les outils se modernisent, les goûts et les modes changent. Notre état d’esprit, lui, reste.